Top 10 des citations du basket (NBA)

Joueurs, entraîneurs, journalistes, commentateurs… En plus de soixante ans d’histoire, le monde de la NBA a été l’objet de toutes sortes de déclarations. Voici les dix citations les plus célèbres – du moins les plus iconiques – de la NBA.

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Mentions honorables

« Ça ne veut rien dire du tout. N’importe qui, dans cette équipe, pourrait marquer 2 000 points si on le lui demandait. Les 2 000 points que j’ai marqués sont dus pour la plupart à l’altruisme de mes coéquipiers. » Sam Jones, joueur des Celtics, après avoir atteint la barre des 2 000 points marqués en carrière en 1965.

« Si la cocaïne était de l’hélium, toute la NBA flotterait en l’air. » Art Rust, journaliste sportif (plus de renseignements ici).

« Je me suis toujours battu avec mes frères, ça ne veut pas dire que je ne les aime pas. » Larry Bird, après une altercation musclée avec Julius Erving lors d’un match Celtics-Sixers en 1984.

« Si je dois prendre un shoot pour gagner un match, je choisis Michael Jordan, mais si je dois prendre un shoot pour sauver ma vie, je choisis Larry Bird. » Pat Riley, entraîneur des Lakers.


Hors-concours

Charles Barkley

« La pression ? C’est pas un truc qu’on met dans les pneus ? »

« On peut m’acheter. S’ils y mettaient le prix, je suis prêt à travailler pour le Ku Klux Klan. »

« Si vous sortez avec une fille et que les gens disent d’elle qu’elle a de la personnalité, cela veut dire qu’elle est moche. Quand les gens disent qu’un joueur travaille dur, ça signifie qu’il est nul. C’est pareil. »

« Je pense que l’équipe qui gagnera le cinquième match gagnera la série. Sauf si nous perdons le cinquième match. »

« Je ne connais rien de l’Angola. Je sais juste qu’ils sont dans la merde. »

« Ce n’est pas parce que je sais dunker un ballon que je devrais élever vos enfants ».

« Je n’écoute pas les arbitres. Je n’écoute jamais les gens qui se font moins d’argent que moi. »


Le top 10

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10. « Larry, tu ne m’as menti qu’une seule fois. Tu m’as dit qu’il y aurait un jour un autre Larry Bird. Larry, il n’y aura plus jamais, jamais, un autre Larry Bird. » Magic Johnson lors de la cérémonie de retraite de son ami et plus grand rival, Larry Bird, en 1993.


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9. « Was he big enough » ? (« Il est assez grand ? ») Michael Jordan à un supporter de Utah lors d’un match de saison régulière de 1987. Après qu’il eut dunké sur John Stockton (1,85 m), le supporter avait défié Jordan de « s’en prendre à quelqu’un de sa taille ». Quelques instants plus tard, Jordan écrasait un dunk sur le pivot remplaçant du Jazz, Mel Turpin (2,11 m), et se tournait vers celui qui l’avait apostrophé pour lui cracher les mots ci-dessus.


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8. « Je pense que c’était Dieu déguisé en Michael Jordan. » Larry Bird, en réaction aux 63 points marqués par Michael Jordan contre les Celtics au premier tour des play-offs de 1986.


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7. « Si Larry Bird était noir, il serait juste un autre bon joueur. » Isiah Thomas après la défaite des Pistons contre les Celtics (4-3) en finale de Conférence 1987. Des propos controversés qui seront la source d’une grosse polémique.


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6. « Le facteur ne livre pas le dimanche. » Scottie Pippen à Karl Malone, alias « le facteur » (« the mailman »), avant que celui-ci ne tente deux lancers francs décisifs lors du premier match des Finales NBA de 1997. Malone manquera les deux lancers et Chicago remportera le match.


Cette image a un attribut alt vide ; le nom du fichier est mos.jpg 5. « Fo’ fo’ fo’. » Avant le début des play-offs de 1983, on demanda à Moses Malone un pronostic sur les chances de son équipe. Malone répondit simplement « fo’ fo’ fo' » (autrement dit, que les Sixers gagneraient par 4-0 chacune des séries éliminatoires). Une prédiction qui s’avéra presque exacte (les Milwaukee Bucks arrachèrent une victoire en cours de route).
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4. « I’m back. » (« Je suis de retour. ») Deux mots envoyés par fax le 18 mars 1995 par Michael Jordan, annonçant son retour après dix-huit mois d’absence.


3. « I mean, listen, we’re talking about practice, not a game, not a game, not a game, we talking about practice. » (« Ecoutez, on parle de l’entraînement. Pas d’un match, pas d’un match, pas d’un match ! On parle de l’entraînement. ») Allen Iverson en 2002 lors d’un discours devenu mythique en conférence de presse, où il répéta le mot « practice » une bonne vingtaine de fois en quelques minutes.
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2. « Havlicek stole the ball ! » (« Havlicek intercepte ! ») Johnny Most, légendaire commentateur des Celtics, lors du Match 7 des Finales de Conférence Est 1965 contre Philadelphie, alors que les Celtics mènent 110-109 à quelques secondes de la fin et que les Sixers effectuent une remise en jeu sous le panier adverse (plus de précisions ici).


Cette image a un attribut alt vide ; le nom du fichier est tomjanovich.jpg 1. « Never underestimate the heart of a champion. » (« Ne sous-estimez jamais le cœur d’un champion. ») Rudy Tomjanovich, entraîneur des Houston Rockets, lors de la remise du titre de champion NBA 1995 à son équipe, qui réalise le doublé après une saison particulièrement difficile.

Source photos : http://www.nba.com